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La Comtesse sanglante, Erzsébet Báthory.

ERZSÉBET BÀTHORY
LA LÉGENDE

Connue sous le nom de la "Comtesse sanglante, Erzsébet Báthory, règne dans l’imaginaire collectif comme

l’ incarnation vivante des ténèbres.

Reconnue coupable d'avoir torturé et assassiné avec un luxe d'imagination et de cruautés près de 600 jeunes filles, pour se baigner voluptueusement dans leur sang, dans l’espoir de gagner la jeunesse éternelle, Erzsébet Báthory est sans doute l’une des plus grandes sadiques, hommes et femmes confondus, de l'histoire du crime.

 

D’une perversité diabolique, elle se livre aux plus viles dépravations, aux plus monstrueuses abominations, avec comme associés du pire un nain et une Cour de sorcières.

Parce-que de sang royal et veuve du Baron Nadasky, un général au service des Hasbourg, la Comtesse Báthory jouira d’être l’une des femmes les plus puissantes de Hongrie, pour sévir en toute impunité.

Il se passera des années, avant que les autorités ne se décident à l’inquiéter.

A son arrestation, l’ampleur de ses atrocités, la condamne à être emprisonnée et emmurée dans sa chambre.

 

A l’origine du mythe du vampire, La Comtesse Erzsébet Báthory inspirera à Bram Stocker le personnage de Darcula et marquera pour des siècles et des sciècles, l’Histoire d’une empreinte sanguilonante d’effroi.

NOTE DE L'AUTEUR

Bien que romancée, cette histoire reste effrayamment fidèle à la vie d’Erzébet Báthory

Sa cruauté, son sadisme, ses atrocités non rien d’imaginaire, bien au contraire. Sa folie meurtrière fut telle, si instinctive et soudaine, qu’il m’a fallu pour la justifier la mettre au service de l’intrigue.

Quant aux personnages, bien que certains soient fabulés, la plupart d’entre-deux ont réellement existés, même si j’ai pris quelques libertés en détournant la vocation de quelques-uns pour les besoins de l’histoire.

De même concernant le contexte historique que j’avoue parfois avoir traité avec désinvolture en prenant pour excuse la citation d’Alexandre Dumas :

« Il est permis de violer l’Histoire, à condition de lui faire un enfant »

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